M. Delacomptée est très malheureux que l'on porte atteinte à la langue et a pondu un essai en réveillant les mânes des Malherbe, Francis Ponge, Péguy et tutti quanti de la littérature française. Il se lamente celui qui fut parmi les pontes de Gallimard, qui a ainsi entre autres sélectionné les "auteurs Maison" et contribué à l'émergence de la "littérature de bazar".
Il est évident qu'avec les intellos qui sortent des universités françaises et même des "grandes" écoles comme la "Rue d'Ulm" et peuplent, comme "agrégés" les comités de lecture des éditeurs, qui se fient à leur "savoir-faire", leur "compétence littéraire", qui savent tout, sont les "phoenix" des Lettres, les auteurs qui sortent de la "norme" journalistique ou de littérature de gare sont taxés de viocques, passéistes, et rejetés du "monde des Lettres parisien" dirigé à haute main par les maîtres de la Presse, des émissions Télé soi-disant littéraires comme LGL, qui ne sont que des succursales de promotion de la médiocrité éditoriale.
Il n'y a qu'à faire un tour sur les "NOUVEAUTES" que servent les Médiathèques, Bibliothèques de Paris ou de province pour voir le gouffre de l'indigence Littéraire jusqu'aux traductions à la "Vas-y que je te pousse...",
M. Delacomptée prêche dans le désert littéraire.
Il reste cependant ce que Stendhal nommait in english les Happy few et ceux-ci n'ont que faire des états d'âme promotionnels.
Henry Zaphiratos
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