Une sorte de "La Terrasse" d'Ettore Scola, mais sans le visuel de Vittorio Gassman, Marcello Mastroianni, et sur des snobinards. Leurs propos inutiles, faits de lieux communs ou de banalités historico-politiques, alors que survolent les avions de l'OTAN allant bombarder la Serbie. Des personnages falots, autour d'un dîner faussement "naturel", tout cela à Corfou, face aux montagnes d'Albanie. Sans aucune magie. Rien.
Michel Déon s'est amusé à cette sotie incongrue.
Il vaut mieux l'oublier pour le reste de son oeuvre.
Hermès
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