-Il faut être plus grand malgré nous.
-Les hommes de génie sont des météores destinés à brûler pour éclaircir leur siècle.
-Ce que je cherche avant tout c'est la grandeur, ce qui est grand est toujours beau.
-La haute politique n'est que le bon sens appliqué aux grandes choses.
-L'homme supérieur n'est sur le chemin de personne.
-Les ambitieux secondaires n'ont jamais que des idées mesquines.
-Nous naissons, nous vivons, nous mourrons au milieu du merveilleux.
-Je méprise l'ingratitude comme le plus vilain défaut du coeur.
-J'aime le pouvoir, moi, mais c'est en artiste que je l'aime. Je l'aime comme un musicien aime son violon, pour en tirer des sons, des accords et de l'harmonie.
-Le hasard est le seul roi légitime de l'univers.
-Le mot de vertu politique est un non-sens.
-Les crimes collectifs n'engagent personne.
-La nation française est la plus facile à gouverner quand on ne la prend pas à rebours; rien n'égale sa compréhension. C'est facile ; elle distingue à l'instant même ceux qui travaillent pour elle ou contre elle ; il faut toujours parler à ses sens, sinon son esprit inquiet la ronge, elle fermente et s'emporte.
-En France on admire que l'impossible.
-J'ai été plus abandonné que trahi.
-Notre ridicule défaut national est de n'avoir pas de plus grand ennemi de nos succès et de notre gloire que nous-mêmes.
-Il n'y a que deux puissances au monde : le sabre et l'esprit. A la longue le sabre est toujours vaincu par l'esprit.
-Napoléon - citations pages 750-751 de "Ces amis qui enchantent la vie" de J-M. Rouart. Robert Laffont
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