L'auteur saute d'un coup de la série B, des films à petit budget (à moindre prétention, mais cependant montrant un goût de leurs auteurs pour le 7° Art, et pour l'extraordinaire) à la série Z. On voit le niveau revendiqué par M.J.M. Erre. En 20 pages d'un scénario bien ficelé, l'histoire pouvait prêter à intéresser et à sourire. Là, il s'agit de 366 pages d'un vrai pensum. Faux polar, fausse enquête, faux meurtres, faux suspens, passage de l'écriture d'un scénario à la réalité de l'action, bébé dont le premier mot est de dire "merde", vioques dopés au viagra, etc.
Il vaut mieux les originaux des films B, ou de polars.
Il faut saluer quand même l'héroïsme de l'auteur et de l'éditeur
366 pages !
Hermès
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