lundi 19 octobre 2015

Nouveauté : Frères ennemis de Renaud Dély et Henri Vernet - Haine Politique - Calmann-Lévy Edit. 18€

Citations de cris de haine dans la classe politique française : EXTRAITS :

François Hollande, président de la République : "Tous ceux qui sont autour de moi doivent me protéger et non se protéger. Tout ce que je pourrais faire pour eux pourrait se retourner contre eux et à juste titre contre le président."
François Rebsamen, maire PS de Dijon et ancien ministre du Travail, à François Hollande : "Mais, François, t'es malade ? Avec Lebranchu, on va avoir du fumier devant nos permanences dans quinze jours !A son ami, le Président Hollande :" T'es dégueulasse. T'es vraiment un dégueulasse !"
François Rebsamen, encore : "Au fond, Stéphane et moi, François ne peut plus nous voir, il ne nous supporte plus…"
Arnaud Montebourg, ancien ministre PS de l'Économie : "Au fond, toute ma vie, j'ai combattu François Hollande."
Vincent Peillon, ancien ministre PS de l'Éducation nationale : "En fait, déjà pendant la campagne, je ne les supportais plus…"
Les "snipers sarkozystes" à propos de Bruno Le Maire : "On lui a épargné les mines de sel et aujourd'hui il nous crache à la gueule."
Nicolas Sarkozy au sujet de son ancien ministre de Travail Xavier Bertrand : "Mais enfin, qu'est-ce qui lui prend ? Moi qui lui ai donné le parti et de gros ministères ? C'est un médiocre. Sans moi, il ne serait rien."
Jean-François Copé, ancien président de l'UMP : "Si la peine de mort avait existé, s'il avait eu le pouvoir de me mettre à mort dans les quinze jours, le processus aurait pu aboutir."
Jean-Marie Le Pen et sa fille Marine Le Pen,: "On en est là à cause de ton ego surdimensionné ! - Non, à cause de ta paranoïa !"
Jean-Vincent Placé, sénateur écolo : "Tu devrais en buter un pour l'exemple. Après, les autres ne moufteront plus, crois-moi."
Genre de propos que l'on trouve dans des polars comme Les Tontons Flingueurs...
Hermès

On peut ajouter la phrase du député-marcheur Lassale qui fit le tour de France à pied, et qui rapporte que les "petites gens" qu'il avait rencontrées lui auraient dit : "Vous méritez qu'une chose, vous les politiques, qu'on vous crache à la gueule."
Cité d'un entretien radio par André Blanchard, in Le Reste sans changement, Editions Le Dilettante, page 177.

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