mercredi 28 janvier 2015

L'Elégance du Phénix - André Fraigneau, de Galimard-Flavigny, Seguier Editions 232p.

Les Editions Séguier annonce la parution pour février d'un livre d'entretiens et de documents sur André Fraigneau. L'un des "hussards" de la littérature des années 1950/60 avec Roger Nimier, Michel Déon, Antoine Blondin.
 

dimanche 25 janvier 2015

Un jeune homme sans importance, roman d'Henry T. Zaphiratos - Htz-Athéna Edit. 162p 14€

www La Place des Libraires
 
Htz-Athéna Editions  fax. 0494367197
 & e-book Amazon

samedi 24 janvier 2015

Dictionnaire amoureux du Québec, de Denise Bombardier, Plon Edit. 400p 20€

Dans la très belle collection "Dictionnaire amoureux", Denise Bombardier la tonitruante romancière québécoise, qui est passée à Apostrophe de Bernard Pivot à l'époque où cette émission culte faisait les beaux vendredis soir  de la télé, fait l'inventaire de tout ce qui est extraordinaire ou ordinaire au Québec. Un livre capital pour avoir en mains des informations essentielles sur Montréal, Québec, la pêche, la chasse, la langue vivante, les mœurs, le français tel qu'il se parle avec ses variantes, ses mots nouveaux, ses expressions.
Un bouquin formidable avec la nomenclature, non exhaustive, des écrivains, chanteurs, chanteuses, poètes, dramaturges etc.
Une excellente publication.
Henry Zaphiratos   

vendredi 23 janvier 2015

L'Homme qui ment, roman-récit de Marc Lavoine, Fayard Edit. 191p. 17€

Le chanteur-acteur Marc Lavoine est aussi écrivain. "C'est ça écrire un bouquin : s'allonger dans la vie quand tout le monde reste debout." a-t-il déclaré à Paris-Match. Ce n'est pas tout à fait ce que je pense : écrire c'est prendre le temps de vivre et de revivre.
Dans son roman-récit Marc Lavoine se penche sur son passé, ses parents, mélange des souvenirs intéressants parce qu'enfant de Wissous, il raconte la banlieue de l'époque, l'ambiance communiste où baignait son père, les fêtes de l'Huma, les vacances, les premiers 33tours, les Vinyl, un monde que Jacques Tati a fixé dans l'un de ses chefs d'œuvre "Mon Oncle".
A 16 ans, il quitte sa famille pour l'aventure théâtrale, la musique, pour une nouvelle vie.
Un homme se penche sur son enfance... Qui ment ?
Hermès 

jeudi 22 janvier 2015

Les Evènements, roman de Jean Rolin, P.O.L. 202p. 15€ 2014

C'est un peu la mode des livres catastrophes, comme il y a eu des films catastrophes comme le Titanic, la Tour infernale etc.
Là, Jean Rolin suivant la piste des essais des journalistes, anticipe, et nous raconte une histoire à faire frémir les braves gens sur une France en pleine guerre civile avec snipers, attentats etc.
Style ordinaire.
Quel intérêt ? Aucun, si ce n'est s'amuser à imaginer...
Hermès

lundi 19 janvier 2015

Le manteau de Greta Garbo, de Nelly Kapriélian, Grasset Edit. 284p. 18,50 - 2014

Plutôt qu'un roman Mme Nelly Kapriélian a écrit un essai sur la mode, les vêtements. Un essai qui m'a époustouflé par son érudition sur les robes, les chapeaux, les chaussures et une recherche en profondeur des tocs des stars de naguère, et du désir fou d'avoir quelque chose d'un univers que certains imaginent comme fabuleux. Avoir un "Chanel" vrai ou faux, quel sentiment de bonheur inonde certains êtres, ils ont l'impression qu'ils sont entrés dans ce monde fabuleux de la richesse, de la notoriété, des lumières... dixit Karl Lagerfeld : "Le sac Chanel, c'est ce qui donne à une femme l'impression d'accéder à une vie que très peu de gens peuvent avoir."
La mode c'est l'aristocratie restaurée, celle de l'Ancien Régime où les princes, les duchesses, les comtesses etc. revêtaient les vêtements les plus fous, les plus riches, brodés d'or et d'argent, couverts de diamants, de pierreries précieuses... Un univers fantastique que éblouit le peuple, le monde. Avec les stars de cinéma, les stars du théâtre, les stars de la vie politiques, cet univers ressurgit à travers leurs vêtements, leurs modes, leurs tics et leurs tocs... C'est le triomphe du miracle des "modes", des "sigles", des "marques". Toute la bourgeoisie, toutes les classes moyennes, se prêtent à rêver, avoir ceci ou cela pour se rapprocher des divinités de ce monde, de s'inventer une nouvelle vie, se donner un nouveau look.
Nelly Kapriélian fait l'inventaire de ceux qui ont participé et participent à cette fantasmagorie pour cacher les corps, les voiler, puis la compulsivité des achats pour "posséder" comme Martine Carol qui avait 400 sacs à main, dans ses armoires etc. acheter pour être, pour exister. Du monde du semblant, du paraître, au monde du faux-semblant...
Et les grands créateurs des studios hollywoodiens ! Qui venaient l'un de la chaussure (Mayer), l'autre du gant (Goldwyn), de la fourrure (Zukor)... tous amoureux des corps pour les vêtir et les donner à voir...
A travers les stars du cinéma, de la mode, de l'art, de la littérature, la nomenclature des jeux de miroir, des masques, des marques. L'inauthenticité dans toute sa splendeur, le faux, l'artificiel, la construction d'univers de schémas pour les foules assoiffées de se trouver une raison d'être, d'exister, en singeant les stars, les dandys méprisants, le monde de l'artifice qui fait vivre un corps glorieux de créateurs mystificateurs, pour donner une "âme" à ces corps, si beaux dans leur nudité, sublimes dans l'art des Phidias, des Rodin, des peintres, corps qu'il faut revêtir pour les offrir aux écrans des cinémas, aux défilés des Tout-Paris, aux magazines de mode comme Vogue, pour les sublimer, cacher les misères du vide, le creux des vies, la souffrance se promenant au-dessus des êtres. Créer pour quelques instants, quelques heures le plaisir, et le répéter, l'entretenir comme une flamme pour illuminer pour quelque temps des destins tragiques.  
Un livre très documenté, très intéressant, finement agencé pour que l'on en garde l'intérêt continument.
Pour les élèves des écoles de mode, de stylisme, les créateurs.
HZ
16/20
 
     

mercredi 14 janvier 2015

Interview de Sylvain Tesson in "LIRE" de janvier.

Dans le premier numéro de la revue "LIRE" de 2015, Sylvain se dévoile dans une interview donnée à  JB. Après son lit d'hôpital, il récupère après avoir été opéré pour 24 fractures dues à une chute lors d'une escalade d'un chalet en Savoie.
Sylvain Tesson, l'auteur de "Sibérie" avait remis le manuscrit de son nouveau livre "BEREZINA" à son éditeur Guérin avant cette chute. Livre qui raconte son périple motocycliste de Moscou à Paris en suivant le parcours de la Grande Armée napoléonienne disloquée par le froid russe, les cosaques et qui perdra 400.000 hommes dans cette catastrophe de 1812, et provoquera la chute de l'Empire deux ans plus tard.
Une interview qui révèle la mélancolie profonde de l'auteur.
Son livre "BEREZINA" est édité chez Guérin, éditeur savoyard, 190p. 19,80€
Hermès

lundi 12 janvier 2015

"JE SUIS CHARLIE" la chanson de Jean-Baptiste Bullet, hymne de ces journées...

"Un coup de Kalach'
 Pour un coup d'crayon
 Tu salis ta religion
 ...."
Sur la musique Hexagone de Renaud, la chanson de JB. Bullet a été vu et entendu des millions de fois sur les réseaux sociaux et sur les chaînes de TV. est devenue l'hymne de ces journées.
JB. Bullet a 25 ans, originaire de Tarbes...
Une très belle chanson qui va faire le tour du monde.
Hermès

mercredi 7 janvier 2015

CHARLIE HEBDO EN DEUIL, la Presse en deuil, la France en deuil...

Ce matin 11h30
Attentat terroriste contre Charlie Hebdo…Deux tueurs réussissent à entrer dans leur immeuble par le digicode d’une secrétaire qui revenait avec sa petite fille qu’elle était allée chercher à l’école. Ils grimpent les étages, mitraillent une porte, entrent dans les locaux de Charlie Hebdo en pleine conférence de rédaction, donnent des prénoms, et mitraillent à bout portant les journalistes, les caricaturistes dont Wolinski, Charb, Tignous, Cabu, puis ils redescendent, crient « Allah Akbar » (filmé) tuent à bout portant après l‘avoir blessé, un policier, montent dans la C3 Citoën noire (filmé), foncent, mitraillent une voiture de la Police. Rue de Meaux, ils changent de voiture en se découvrant le visage, avec tranquillité et « amabilité » pour un vieux conducteur et son chien, et disparaissent (un témoin) à la porte de Pantin.
12 personnes assassinées, de nombreux blessés, 11, transportés dans les hôpitaux.
La traque commence.
Immense émotion mondiale, de Barak Obama à Poutine, à la reine d'Angleterre...
Hollande accouru sur les lieux condamne ces assassinats terroristes. La France en deuil ; des centaines de milliers de personnes dans toute la France sur des places pour protester être solidaires : JE SUIS CHARLIE, brandi.
Charb : "Je préfère mourir debout que de vivre à genoux."
"C'est dur d'être tué par des cons".

Rappeler les paroles de Périclès, IV° siècle avant J-C : " Le bonheur c'est la liberté"  Ceux qui meurent pour la liberté sont glorieux.

 

 

samedi 3 janvier 2015

EXTRAIT de "UN JEUNE HOMME SANS IMPORTANCE" de H.Z. Htz-Athéna Editions


"- Nanterre, Assas, Jussieu, ça barde partout. On va tout foutre en l’air, c’est la révolution prolétarienne ! Vive la fin du capitalisme ! Vive Mao ! Vive le petit livre rouge ! 

Il est blême de joie. Son visage émacié fulmine de bonheur.

Nous courons avec lui à la réunion de Sartre. Des camions avec des étudiants, brandissant des drapeaux rouges et le poing, passent sous les fenêtres des bourgeois en chantant l’Internationale.

Pendant que Sartre, la lippe pendante sous sa cigarette, et le regard bigleux, discourt dans la grande salle, Ethel dévore Archie des yeux, moi, je n’existe plus. Avec sa petite barbe blonde, sa fine moustache, son nervosisme à la d’Artagnan révolutionnaire, il la fascine, je le vois bien. Je m’en fiche intellectuellement, mais j’aime pas ça. Elle va tomber dans un de ces amours minables qui ne m’intéressent pas. Une sorte de complicité dans le crime, dans la destruction, les rapproche. Je veux qu’elle reste elle-même. Ce qu’elle a sorti à son père était très bien, et je l’admire de foutre en l’air son monde, cette tendresse paternelle pour cette aventure qui est là, devant nous. Mais pas la folie bolchevik !

 

J’aime Ethel.

A travers les vapeurs des gaz lacrymogènes, belle, intrépide, elle passe des pavés que d’autres descellent dans la furie, à Archie. Elle va jusqu’au bout d’une logique à laquelle je n’adhère pas. Oui, pour notre liberté, mais non à cet enfermement dans un système. En courant je lui ai expliqué mes raisons, je lui ai dit que je me battais avec elle pour la libération de la femme, l’égalité des sexes, pour un autre monde, plus juste, tolérant, mais que c’était absurde de suivre les mots d’ordre de « La Cause du peuple », que c’était une dictature, celle d’un soi-disant prolétariat, que les gauchistes voulaient instaurer ; qu’il n’y avait qu’à voir ce qui se passait chez Mao, en Chine ! Rien n’y faisait. Archie, du haut de son aura héroïque, était le plus beau, le plus romantique des révolutionnaires. Elle respirait près de lui l’air des cimes. Elle revoyait la villa de Neuilly, les meubles Art-déco, les domestiques de ses parents, elle entendait la componction qui tombait des après-midi de thé, dans le salon de sa mère. "
Extrait de "Un jeune homme sans importance"  de Henry Zaphiratos - Htz-Athéna Editions

Soumission, roman de politique-fiction de Houellebecq, Flammarion Editeur 2015

Le 7 janvier sortira officiellement ce roman qui décrit une France sous la présidence et le gouvernement d'un parti musulman, venu au pouvoir grâce à leur alliance avec l'UMP, le PS. et l'UDI, unis pour faire barrage au Front National. La loi islamique, la Charia, s'installe petit à petit...
Venant après le livre d'Eric Zemmour, Le Suicide français, l'Identité malheureuse d'Alain Finkielkraut et les évènements de guerre et migratoires actuels, le roman suscite déjà la polémique. 
Le titre "Soumission" est la traduction littérale de "Islam".
Lire la déclaration de Houellebecq retransmise par Le Figaro ce jour.

Extrait de l'interview sur ce livre d'Alain Finkielkraut dans le Journal du Dimanche du 4 janvier 2015
"Soumission est, avant tout, le roman d'un excellent écrivain, dit Alain Finkielkraut,
Michel Houellebecq a le génie du détail signifiant. Il met en italique les expressions d'époque et, tout en nous racontant une histoire singulière, avec des personnages très incarnés, il nous convie à un dévoilement du monde. Il mêle avec un art consommé le concret et l'abstrait, le narratif et le philosophique. Sa force comique vient du fait qu'au lieu d'être prisonnier de l'esprit du temps ou de le combattre, il le regarde de l'extérieur. Son impassibilité est absolument irrésistible.
On rit beaucoup à la lecture de Soumission.
J'ai ri sans cesse mais le rire que suscite Houellebecq n'est pas celui des humoristes modernes, dont Raymond Queneau disait déjà qu'ils tendent "à tout déprécier, à tout abaisser, car ils ne peuvent tolérer qu'il puisse exister parfois quelque grandeur". J'ai ri, par exemple, à sa comparaison entre les femmes d'Orient et celles d'Occident : "Vêtues pendant la journée d'impénétrables burqas noires, les riches Saoudiennes se transformaient le soir en oiseaux de paradis, se paraient de guêpières, de soutiens-gorge ajourés, de strings ornés de dentelles multicolores et de pierreries ; exactement l'inverse des Occidentales, classe et sexy pendant la journée parce que leur statut social était en jeu, qui s'affaissaient le soir en rentrant chez elles, abdiquant avec épuisement toute perspective de séduction, revêtant des tenues décontractées et informes."
Propos recueillis par Marie-Laure Delorme du JDD

A noter que Gérard Lauzier avait déjà anticipé ce thème dans son film "Tranches de vie" en 1985 avec Josyane Balasko dans le rôle principal. (Rappel sur Facebook)

Hermès 

vendredi 2 janvier 2015

Le Capital au XXI° siècle de Thomas Piketty - Bestseller économique

Thomas Piketty, l'économiste français devenu la coqueluche des médias économiques mondiaux, a écrit ce livre sur la montée des inégalités au XXI° siècle en étudiant les courbes de l'évolution économique et démographique...
Il vient de refuser la légion d'honneur en expliquant qu'il n'avait pas été contacté pour cette nomination, qu'il aurait de toute façon, refusée si il en avait été averti. Ce qui est étrange c'est que d'après le règlement c'est au récipiendaire éventuel à "demander" cette décoration...
Hermès 


jeudi 1 janvier 2015

Une nouvelle théorie pour l'Edification des Pyramides... par Michel Michel.

Fasciné par l’Égypte ancienne, le Normand Michel Michel, postier à la retraite, pense avoir percé le mystère de l’édification des pyramides. La théorie sur laquelle il travaille depuis quarante ans vient d’être saluée par de nombreux spécialistes.
Sourire en coin et gouaille normande, Michel Michel, 64 ans, n’a pas le profil type des égyptologues. Mais les apparences sont parfois trompeuses. Ce postier à la retraite installé à Vernon (Eure) pourrait en effet avoir découvert le secret de l’édification des pyramides.
« Cette question me fascine depuis 1972, date à laquelle j’ai vu le film La terre des Pharaons du réalisateur Howard Hawks, raconte l’intéressé. Je me suis creusé la tête durant plusieurs années et j’ai compris que tout le monde faisait fausse route. Les chercheurs focalisaient leurs calculs et observations sur la seule pyramide de Khéops, alors que les principes de celle-ci sont inapplicables aux autres. Ils oubliaient également le principe de base : pour bâtir, les Égyptiens ne bénéficiaient pas des moyens modernes et devaient faire simple. »
Partant de cette idée, Michel Michel s’est lancé dans la présentation d’une théorie innovante : « Mon procédé repose sur un système de rampes. Il est adapté aux pyramides de toutes tailles. Il est simple, intuitif, économique, solide et aisément vérifiable », affirme-t-il.
Il se dit persuadé que cette façon de bâtir est très proche de celle utilisée à l’époque. « Les divers niveaux de dégradation des pyramides suggèrent qu’elles possédaient toutes une structure identique, avec une structure interne initiale à degrés, poursuit-il.Pour bâtir, il suffisait d’utiliser des rampes disposées sur lesquelles on tirait des traîneaux chargés de pierres. L’astuce consistait à construire ces rampes en pierre plutôt qu’en briques, puis à transformer cette structure initiale en pyramide lisse, par la réorganisation d’une partie des pierres utilisées pour construire les rampes. Suivant cette idée, le volume initial et le volume final sont identiques. »
Selon l’ancien postier, sa démonstration est imparable : « En agissant ainsi sur chacune des faces, du sommet vers la base, on obtient une pyramide lisse, conforme aux observations. Avec un simple mètre à ruban, on peut réaliser ces calculs. Tout est exact. Pas besoin de grands moyens. Les chercheurs peuvent vérifier. »
Mis en ligne au début de l’année 2012 et envoyés aux meilleurs spécialistes, ses travaux n’ont toutefois pas été pris en considération. En dépit de l’ingéniosité et du sérieux de sa théorie, Michel Michel s’est retrouvé boudé par la majeure partie des égyptologues européens. « J’ai le sentiment d’être pris de haut, car je ne fais pas partie du sérail. Ces gens-là ne semblent pas vouloir s’abaisser à écouter d’autres avis. Bien souvent les égyptologues amateurs sont méprisés par les chercheurs et historiens, surtout lorsqu’ils ne peuvent travailler, comme moi, qu’avec leur jugeote, un vieil ordinateur et un logiciel gratuit en 3D. »
En cette fin d’année, le vent semble pourtant tourner. Ces derniers mois, les théories de Michel Michel ont en effet reçu le soutien de plusieurs sommités en la matière. « Fin juillet, Nabil Swelim, égyptologue égyptien spécialiste des pyramides, et Claude Obsomer, égyptologue, ont manifesté leur intérêt pour mon hypothèse. Ils ne m’ont pas méprisé et m’ont même félicité. »
Au mois d’août, Michael E. Habicht, égyptologue de l’université de Zurich, consultait également cette hypothèse sur le siteAcademia.edu et contactait aussitôt le Vernonnais en lui proposant de publier ses travaux dans sa publication égyptologique Unter dem Siegel der Nekropole. « Sa revue est parue en novembre. Sur les 96 pages, 48 sont consacrées à mes recherches. Elles comprennent un développement de mon hypothèse de construction, des calculs d’effectifs et de délais de construction, ainsi que mon analyse du transport des charges lourdes sur traîneaux. »
L’intérêt pour la théorie de l’ancien postier ne cesse donc de grandir, mais l’intéressé garde la tête froide. « Je ne m’excite pas. Je vais laisser du temps au temps, afin de voir si d’autres égyptologues cautionnent mes travaux et me contactent après avoir consulté la revue de Michael E. Habicht. »
Toutefois, encouragé par le soutien du spécialiste zurichois, Michel Michel s’est remis à la tâche, en s’intéressant cette fois aux obélisques. « Personne n’a jamais présenté de théorie solide sur leur érection. Cela constitue mon nouveau challenge… »

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