samedi 4 mars 2017

La liberté des savanes, de Robert Lalonde, Carnets, Boréal Edit. Montréal 184p.

Carnets, notes littéraires et personnelles, journal de Robert Lalonde. A propos du roman, il écrit « C’est un peu comme si tout le XXe siècle, toute l’histoire qui a mené à décloisonner ce que c’est que la littérature, n’avait pas existé et qu’il nous fallait revenir au XIXe siècle ! ». Le  récit, tenir la main au lecteur comme il dit ? Ça l’ennuie prodigieusement. « Pourquoi le roman, la nouvelle ou les carnets devraient-ils donner le mode d’emploi ? Ça me semble être bien plus qu’une question d’effort. Dans la lecture, il y a un vertige, sinon il ne se passe rien. Et ce vertige, il faut reconnaître qu’il y a un certain nombre de personnes qui ne peuvent tout simplement pas le franchir. »
Robert Lalonde se situe plus dans la lignée des J.J. Rousseau, Gide du Journal, etc.
Hermès
  

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