Ce livre de 1016 pages, est divisé en cinq parties :La partie critique, La partie d'Amalfitano, la partie de Fate, La partie des crimes, La partie d'Archimboldi.
Mon propos ne concerne que la première partie.
Trois copains-écrivains Jean-Claude Pelletier( Français),Morini(Italien),Manuel Espinoza(Espagnol)se lancent à la recherche et à l'étude d'un écrivain allemand Benno von Archimboldi. Ils vont de séminaires en congrès, en colloques dans cette quête éperdue, à travers des étreintes avec une Liz Norton qui s'intéresse aussi à cet illustre inconnu.
Discussions oiseuses,cérébralité, disgressions savantes etc. Tout est fait pour décourager le lecteur lambda que je suis. Aussi ai-je arrêté ma lecture à la première partie, pour ne pas être dévoré par l'"inutile".
Il paraît que dans les autres parties, ai-je lu dans une critique, il serait question d'une cité de frontière, Santa Theresa (qui ne serait autre que Ciudad-Juarez)où l'on assassine des femmes etc., et 800 pages !
C'est étrange, mais j'ai l'impression que certains livres sont ce que je nommerais une "littérature du dehors". Ils traversent le réél, suspendu aux fils que lui a tendus l'auteur. Je les contemple comme des funambules lointains.
Ce livre a été traduit avec le concours du Centre national du livre.
HZ
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