lundi 4 mars 2013

A propos du "Maculinisme" qui arrive...

Les hommes ont toujours "adoré" les femmes, ils adorent être maternés, conseillés, aimés. Ce sont de grands enfants depuis que leurs mères les mettent au monde, depuis la nuit des temps. D'ailleurs ne dit-on pas que les femmes dans un ménage "portent la culotte" ?
La plupart de nos rois ont été menés par le bout du nez par leur femme ou leurs maîtresses(Isabeau de Bavière, Gabreille d'Estrée, Catherine de Médicis, la Montespan, la Maintenon, Marie-Antoinette, la du Barry, la Pompadour, Eugénie etc.) , les femmes sous l'Ancien Régime avaient les mêmes droits que les hommes (douaires etc.) C'est avec la Révolution (Olympe de Pouges) et le code Napoléon (retour au code romain) que cela s'est inversé en donnant la prérogative abusive aux hommes... La lutte pour l'égalité était donc normale et inévitable. Si des hommes sont brutaux, lourdingues, etc. tous ne le sont pas, heureusement, il y en a, que leurs mères et pères ont très bien éduqués qui sont de très bons maris, époux et pères ou amants... Le problème se pose quand il y a parti-pris dans les divorces difficiles, c'est vrai que la tâche des magistrats est très ardue : comment savoir la vérité ? etc. les décisions sont parfois constestées, c'est humain, on cherche à comprendre... Et parfois les hommes se sentent rejetés hors de leur parternité...
Les femmes adorent se marier pour faire la fête, puis les divorces qui s'ensuivent, puis les remariages pour refaire la fête etc.  Et dans tout ça Où sont les enfants ? Où est l'amour ? En panne.
Les hommes n'ont jamais eu le "pouvoir", les femmes l'ont toujours exercé à travers leurs hommes, mari, amant ou fils, jusqu'à leur prise du pouvoir éclatant aujourd'hui. Mme Merkel gouverne l'Europe...
         Peut-être que certains hommes se réfugient-ils alors dans "l'homosexualité" ou dans l'"amitié" masculine ?  Dans des associations pour pères pour défendre leurs droits, se faire entendre, parfois tout en haut d'une grue... Cela ressemble fort à une nouvelle guerre des sexes (Flaubert-Théâtre).

Hermès

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