EPOUSAILLES
Que
seul je demeure de tant d’épousailles
Me
rompt la tête et rabat mes
oreilles !
Où
sont les belles que j’ai aimées,
Tant
aimées que belles elles demeurent ?
À
malin, malin à demi, es-tu d’avoir couru
Les
printemps sans été,
D’avoir
oublié de remonter
Le
bonhomme destin !
Mon
lit reste parfumé
De la
chaleur de corps frais,
Adieu
belles, les nuits sont passées,
Souvenez-vous
en de grâce !
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