mercredi 28 novembre 2012

Jean-François Copé "J'y suis, j'y reste !"

Le maréchal Mac-Mahon s'était fait une renommée en proclamant sur le champ de bataille de Crimée et à la Présidence de la République (temporaire) "J'y suis, j'y reste". Et il est resté.
Jean-François Copé a craint probablement le Référendum & un nouveau vote des militants de son parti l'UMP, et a prétexté de la publication au J.O. de la liste des députés ralliés à François Fillon comme nouveau groupe à l'Assemblée nationale, pour refuser le plan de sortie proposé par Sarkozy.
La date limite du 30 novembre pour le dépôt des listes des groupes à l'Assemblée, a joué en faveur de François Fillon. Le vote de la présidence de l'UMP ayant eu lieu à une autre date, Copé aurait peut-être gagné. Philosophe, il s'est peut-être dit: il y aura deux UMP, mais je resterai maître de l'un. "Il vaut mieux un tien que deux tu l'auras" dit le proverbe.
Hermès

Aucun commentaire: