Djamel Debbouze, Gad El Maleh chez Michel Drucker. Drôles et brillantissimes. Ils ont le sens de l’à-propos, de la netteté dans les rapports. On sent qu’ils sont sincères et vrais, et… bons. Leur rapport avec leurs parents, leur pays d’origine, le Maroc, les actions culturelles ou humanitaires, auxquelles ils s’impliquent, les rendent très sympathiques, très proches. Ils préparent leurs gags, tirés de la vie courante, de leur milieu, de leurs proches. Ils ont le regard pointu et la langue légère. Il n’y a pas d’animosité, de dérision, tout est « naturel », de leur tempérament. Ils donnent une autre dimension à l’époque. On pense à Fernandel, Fernand Raynaud, aux grands humoristes, aux grands comiques.
Cela illumine un dimanche après-midi.
Hermès
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