vendredi 5 août 2011

Première ligne, de Jean-Marie Laclavetine, roman, Gallimard 244p.

C'est un pensum de 244pages insipides. L'auteur, lecteur chez Gallimard, a voulu dauber sur les "écriveurs" dont la passion est d'écrire, et qui inondent les maisons d'édition de leurs "oeuvres". Furieux de jeter au panier des centaines et des centaines de textes, il s'est vengé en "écrivant" ce plat poulet, bourré de tout et de n'importe quoi avec l'"histoire" d'un éditeur en colère (Edition Fulmen), Cyril Cordouan qui finira par être tué par l'un des auteurs refusés, après avoir tenté de dissuader d'autres d'arrêter leur hémorragie d'écriture...
On peut éviter de perdre son fric et son temps à lire ce truc confus, sans humour, tiré à hue et à dia, d'une vulgarité à toute épreuve.
Le livre du mépris.
A noter que ce livre a reçu le "Prix Goncourt des Lycéens" à sa sortie.
Avec ce genre de bouquin on comprend que les jeunes lecteurs préfèrent les BD.


2/20

Hermès

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