"On a donné le pouvoir à 500 notables de dire qui a la capacité ou non d'aller dans l'élection majeure. On mystifie tout le monde. On fait croire que c'est une élection libre, mais elle dépend de 500 personnes qui donnent ou pas le ticket d'entrée à l'élection libre", a-t-il dit à Libération.
N. Sarkozy, lui, est CONTRE l'anonymat, suivant des parlementaires UMP sortant d'un petit--déjeuner avec lui. Comme son premier ministre François Fillon, il accepte donc que les "pressions" jouent pour contrecarrer une candidature... !
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