ETENDUE
Tous
les cheveux volent au vent
Tous
les yeux dérivent au fil des heures.
Tout
cela pour toi !
Etendue,
étendue à force de fièvre,
À
force de volupté, les paupières pleines
Corps brûlant
Tout
cela pour moi.
Je
t’aime et ton visage me fuit
Eau
qui hante
Les
moindres gestes.
Jolie,
si jolie que tout recommence
Les
mots remettent leur parure
Le
sourire renaît au bord des pages.
Henry Zaphiratos - Poésies -
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