"... (à sa tante Marguerite)..." pourquoi ne laves-tu plus tout entier ton Roger ?"
Elle rougit beaucoup, et me dit d'une voix mal assurée :" mais je t'ai lavé tout entier !
-Allons donc, ma petite tante, lave aussi ma quéquette.
-Fi ! le vilain garçon ! Tu peux bien la laver toi-même.
-Non, ma tante, je t'en prie lave-la toi-même. Je ne sais pas le faire comme toi.
-Oh ! le polisson ! dit ma tante en souriant et reprenant l'éponge, elle lava soigneusement mon vit et mes couilles.
-Viens, ma petite tante, dis-je, laisse-moi t'embrasser pour la peine que tu as été si gentille.
Et je l'embrassai sur sa jolie bouche, rouge comme une cerise et ouverte sur de belles dents saines et appétissantes."...
Extrait : Les exploits d'un jeune Don Juan, page 22.
Roman que je ne connaissais pas. Alors, là, très fort, totalement « osé », et très bien, très libre, écrit par un grand auteur avec un naturel surprenant pour l’époque (1903). Cela fait plaisir de voir la puissance de la littérature qui englobe tout l’univers humain, et la force épique de l’écrivain qui fait fi de toutes les barrières, et passe par-dessus tous les conformismes.
Une sorte de roman à la Maupassant-porno-cochon.
18/20
Dans le genre, on annonce la parution prochaine de "Nos Amours, Poésies érotiques et Libertines" de H. de Lasalle...
que je ne
Hermès
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